Je m’endeuille

Je m’endeuille

Évelyne Marchand

Évelyne Marchand, originaire de Mont-Joli, a étudié la création littéraire à l’Université de Montréal à la fin des années 2010.

Le poème qu’elle publie ici a été trouvé dans son téléphone, peu après son décès, en mai 2022. Évelyne Marchand a vécu 25 ans. Ces mots sont parmi les derniers qu’elle a écrits.

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Des chemins d’humanité

Des chemins d’humanité

Entretien avec Yves Guilbault, psychologue clinicien en réadaptation

Yves Guilbault

Yves Guilbault est psychologue clinicien à l’Hôpital de réadaptation Villa Medica, à Montréal, où il travaille auprès de patient.e.s de tous les programmes (neurologie, amputés, grands brûlés, orthopédie). En 2021, en pleine crise du coronavirus, il a été participant aux ateliers de création littéraire « Le Souci de l’Autre », organisés par la Chaire McConnell-Université de Montréal sur les récits du don et de la vie en contexte de soin, qui ont rassemblé des professionnel.le.s de la santé de plusieurs disciplines. Il a publié un texte de création intitulé « En entendant Satie », sur le site de L’Organon

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Tu vis à Paris, je pense.

Tu vis à Paris, je pense.

Sarah Rocheville

Sarah Rocheville est romancière et professeure agrégée de littérature à l’Université de Sherbrooke. Elle est notamment l’auteure du roman Go West, Gloria et de l’essai Vingt-et-une études de voix. Sur Louis-René des Forêts.

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ma mère, ma morte

ma mère, ma morte

poèmes

Jean-Simon DesRochers

Depuis 2001, Jean-Simon DesRochers déploie une pratique d’écriture qui aborde le roman, la poésie, la nouvelle, l’essai et le scénario. Récipiendaire du prix Émile-Nelligan, finaliste au prix du Gouverneur général, au prix des Collégiens ainsi qu’au prix des Libraires, son œuvre est reconnue tant par la critique que par le grand public. Iel est professeur agrégé en recherche-création au Département des littératures de langue française de l’Université de Montréal.

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Nos mélopées

Nos mélopées

Catherine Bastien

Catherine Bastien est candidate à la maîtrise en recherche-création au département de littératures de langue française à l’Université de Montréal. Ses recherches portent sur la sorcière comme figure féministe dans la littérature contemporaine et sur sa parole envoûtante, contaminante et performative.

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Devenir fée

Devenir fée

Nicolas Lévesque

Nicolas Lévesque est psychologue, psychanalyste et écrivain d’essais (les plus récents, Ptoma et Phora ont été traduits dans une vingtaine de langues qui ressemblent toutes beaucoup au français). Il est aussi chroniqueur à Ici Première et à la revue Liberté. Par le passé, il a été éditeur et directeur du Groupe Nota bene, ainsi que membre des comités de rédaction des Cahiers littéraires Contre-Jour et du magazine Spirale. Dans un passé encore plus lointain, il a été fée-moniteur dans des camps de vacances et fée-entraîneur de basket-ball, canot, golf, soccer, baseball.

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Marie de Magdala, une psychopompe chrétienne

Marie de Magdala, une psychopompe chrétienne

Katherine Rondou
HEPH-Condorcet
Université libre de Bruxelles
Université de Mons

Docteur en Philosophie et Lettres, Katherine Rondou est maître-assistant de langue française à la HEPH-Condorcet et collaboratrice scientifique à l’Université libre de Bruxelles et à l’Université de Mons. Elle consacre l’essentiel de ses recherches aux représentations littéraires des mythes et à l’influence de la Bible et de l’hagiographie sur les lettres. Elle a également publié quelques études sur la littérature belge francophone.

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Parque, veuve et entremetteuse : Colette à Casamène, ou la fin de Claudine

Parque, veuve et entremetteuse : Colette à Casamène, ou la fin de Claudine

Jérémy Champagne
Université de Montréal

Jérémy Champagne est étudiant à la maîtrise en Littératures de langue française à l’Université de Montréal. Son mémoire est consacré à la présence et aux implications du care dans Le Pur et l’impur (1932) de Colette. Dans le cadre du projet de recherche CRSH « À votre service : figures ambivalentes du care dans le roman français de 1870 à 1945 » co-dirigé par Andrea Oberhuber, Catherine Mavrikakis et Simon Harel, il a publié plusieurs textes sur les liens entre littérature et care dans les œuvres de Colette, d’Octave Mirbeau, de Flaubert ou d’André Breton.

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