Racines et constellations : l’écriture cosmogonique de Natalia Toledo, entre réappropriation et revendication décoloniale

Racines et constellations : l’écriture cosmogonique de Natalia Toledo, entre réappropriation et revendication décoloniale

Clémence Demay
Université Toulouse – Jean Jaurès

Clémence Demay est doctorante contractuelle à l’Université Toulouse – Jean Jaurès (France), sous la direction de Marie-Agnès Palaisi et en codirection avec Luz María Lepe Lira, de l’Universida Autónoma de Querétaro (Mexique). Ses recherches portent sur les enjeux politiques de l’écriture du corps dans la poésie bilingue zapotèque contemporaine. Elle a publié des articles dans différentes revues comme l’ORDA ou Proteus,et a participé à la journée d’étude autour des « Trajectoires du désir », organisée par le collectif Femmes de Lettres de l’Université Laval (Québec).

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Winaqirik : ressaisir la « création » et la Terre en k’iche’

Winaqirik : ressaisir la « création » et la Terre en k’iche’

Renato Rodriguez-Lefebvre
Université de Montréal

Renato Rodriguez-Lefebvre est au doctorat en littérature comparée à l’Université de Montréal, où il s’intéresse à certains legs de l’invasion des Amériques. Il écrit et traduit, explorant différents territoires de prose.

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Les Aurores boréales et la notion de personne dans Split Tooth de Tanya Tagaq

Les Aurores boréales et la notion de personne dans Split Tooth de Tanya Tagaq

Camille Roberge

Camille Roberge réside présentement à Tiohti:áke (Montréal). Titulaire d’un baccalauréat en anthropologie depuis 2019, elle entame ensuite un diplôme en études supérieures spécialisées (D.E.S.S.) en récits et médias autochtones à l’Université de Montréal, souhaitant approfondir ses connaissances théoriques et critiques sur les questions autochtones. Au bout d’un an, elle transforme son D.E.S.S. en maîtrise individualisée afin de développer la transontologie, un cadre conceptuel pour l’analyse des littératures autochtones, selon des méthodologies autochtones. Camille Roberge est actuellement coordonnatrice de réseau pour Tahatikonhsontóntie’ Environnement réseau de recherche en santé des Autochtones du Québec.

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Le temps de la Lune : de la représentation des violences genrées à la résurgence des savoirs menstruels dans les littératures autochtones contemporaines

Le temps de la Lune : de la représentation des violences genrées à la résurgence des savoirs menstruels dans les littératures autochtones contemporaines

Marie-Eve Bradette
Université Laval

Marie-Eve Bradette est professeure adjointe au département de littérature, théâtre et cinéma de l’Université Laval et titulaire de la Chaire de leadership en enseignement des littératures autochtones au Québec (Maurice-Lemire) depuis juin 2022. Membre du CRILCQ et du CIÉRA, Marie-Eve Bradette aborde dans ses recherches actuelles l’hétérolinguisme des littératures des Premiers Peuples au Québec comme modalité d’une histoire littéraire plurielle. Elle s’intéresse aussi à la représentation des femmes et des filles autochtones, aux violences genrées et la (re)signification des savoirs féminins, notamment dans la littérature des pensionnats. Ses travaux ont été publiés, entre autres, dans les revues Studies in Canadian Literature/Études en littérature canadienne, Les Cahiers du CIÉRA, @nalyses, Captures et Voix plurielles. Elle est l’autrice d’une chronique annuelle en études autochtones pour la revue Voix et images. Son ouvrage Langue(s) en portage : résurgence littéraire et langagière dans les littératures autochtones féminines est paru en mai 2024 aux Presses de l’Université de Montréal.

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